Alessio Michelotti, coordinateur d'OPEN STREET a rappelé que le terme "Industries Culturelles" avec qui aujourd'hui ils s'identifient les productions culturelles de masse, fut inventé par le philosophe Theodor Adorno dans la Dialectique des lumières en 1947. Le représentant illustre de l'école de Francfort définissait les Industries Culturelles comme « Le machine du Consentement qui a liquidé la fonction critique de la culture en vendant produits de consommation pour produits artistiques ».

Aussi en ne méconnaissant pas les raisons de l'économie, Michelotti a affirmé que aujourd'hui il est de plus en plus nécessaire de défendre l'autonomie de la culture et son indépendance de la loi du profit. Pour celui-ci l'art de rue ne peut pas et elle ne doit pas être confondue avec les procès industriels.

Les interventions suivantes ont confirmé la nécessité de déplacer l'attention de la production industrielle aux implications économiques du secteur culturel.

Laurent Bourdereau, dirigeant du departments de Chamarande et Méréville du Conseil Général de l'Essonne (FR), il s'est exprimé favorable à une coopération culturelle qu'elle soit respectueuse de ces pays qu'ils ont dans leur système culturel une situation de désavantage culturel, parce que la culture - bien commun - elle ne peut pas être laissée en nourrice du marché. Toute la culture européenne nous appartient.

Sylvie Pradayrol du conseil d'administration de la Fédération Nationale des Arts de la Rue (France), a confirmé que l'autonomie de la culture et de l'art représente un valeur partagé des artistes et des opératoires Français. Une campagne récente de la Fédé a adopté le slogan "L'Art est Public", et elle propose une façon de traitér les arts en espace public éminemment représentative d'un volontés, d'un projet et d'un visions démocratique.

Selon Anne De Gand, président de Promotion des Arts Forains, le problème n'est pas si l'économie puisse assujettir l'art à l'argent, mais on doit éviter surtout le marchandisation de l'art, aspect sur lequel vaut le coup être très attentifs.

En proposant ses conclusions Jean Félix Tirtiaux il s'est référé aux motifs constitutifs du projet de Namur En Mai, en prenant les distances du modèle artistique et économique de l'art de rue, en nom d’une nouvelle et spéciale catégorie artistique qu’il même il a défini (avec terme intraduisible) "arts forains". « Les compagnies qui fréquentent Namur En Mai ils continuent l'histoire des saltimbanques » a affirmé Tirtiaux, une histoire caractérisée par un rapport heureux avec l'argent.

À ce point Alessio Michelotti a présenté à tous les présents les importantes activités déroulées dans le premier annèe de la coopération mûri dans le cadre du projet Européen OPEN STREET, ainsi que le caractère européen de la coopération qui caractérise le grand network d'OPEN.

Avec ces mêmes valeurs entre le 2011 et le 2012 Michelotti il a déclaré que les promoteurs du projet sont engagés en atteindre une série d'objectifs très ambitieux:

- consolider les network et renforcer le rapport entre le network et les membres
- analyser les problèmes du secteur en chaque pays et tenter une synthèse au niveau européen
- publier un guide européen de l'art de rue
- donner vie à une association européenne pour la promotion de l'art de rue
- realiser en octobre la deuxieme édition de la vitrine internationale en Italie
- développer des parcours de coopération sur la création, la formation professionnelle, la formation du public, la solution des problématique fiscaux et administratifs lié à l'exercice professionnel.